Face au mur du son

Je sais pas encore ce que va contenir ce post, je ne sais même plus a quoi je pense. Ce n'est ni un appel au secour, ni un message d'adieu, ce n'est rien ...rien que je sache encore.
Ici est peut etre le seul endroit ou je puisse écrire a personne pour des gens, et pas des moindres. J'ignore beaucoup de choses et je ne vais pas en commencer l'énumération. Je croit savoir que peut vont le lire et cela me donne du courage pour le faire.
Je suis face au mur du silence de ma propre pensé abymé dans la douleur lacinante du mal de crane. Depuis maintenant douzes ans je peut donné un alibi à ce que je veut comme une excuse au moindre de mes mouvement.
Ce n'est pas si faux que cela mais de part la même, en me déposédant des raisons de mes actes on me déposéde de mes actes. Que suis je (et chacuns peut se dire la même chose) a part ce que les autres font de moi et vice versa.
Le mur de non pensé face auquel je répond par des non actions qui résulte une non vie qui passe malgès toute ma mauvaise volonté tien bon et ne céderas que quand je le ferais moi même.
Oui je vous aime tous, oui je vous déteste tous mais chacuns différement.
Vous étes des contre-exemple de ce qu'il ne faut pas faire dans l'expectative que l'on veuille suivre le chemin qu'un autre a déja dépucellé avant nous sans prendre la peine de s'en rendre compte; sans savoir que le chemin vie et ressent lui aussi. Nous sommes tous des fragments de chemins, imbriqué les uns dans les autre , a grand coup de poing ou de reins mais souvent tous cela ne tien que part des petits rien, et c'est nous c'est choses si infime qu'elles sont, chacunes, indispensable donc négligeable.
Face à cela mon esprits (ou mes esprit) ne peut que se renforcé dans sa déchéance maladive de fiéreté et sourir avec arogance.
Face à un texte qui a l'inverse de moi n'a ni queue ni tête, je me doit de lui en mettre? ou de continuer le chemin traçant quelque symbole sans raison ni formule dans les airs pour guider les oiseaux de mauvaise augures comme pour donné une excuse au rares badeaux qui me voit de lever la tête au ciel pour y voir une réponses dans leurs propres questionnement.
Depuis un petit moment je ne pense plus, ou plutot je pense ne plus penser, je suis comme un moteur sans escence qui tourne à vide, la direction se garde toujours un droit de regard sur la porte à suivre.
Je pourais avoir envie de m'excuser de m'étaler comme une tartine qui tombe au bas de la table matinale comme pour egayer votre machinale réveil mais comme ellen je serais balayé d'un grognement plaintif et agacé. Alors je me tais et je continue...
... mais ou?
Je ne sais pas pourquoi, et vous non plus mais est cela la questions qu'il faut ce posser? Alors pourquoi ce posser une questions pourrait'on dire.
Pour ne pas savoir, pour ne rien rien-savoir, voila pourquoi je me pose la questions je ne cherche pas une ou des réponses, parce que cela m'empécherais de me posé mes questions. Du questionement peut tout naitre, puisque les réponses ne sont pas posé, alors dans la question réside l'espoir?
Je tournais en rond dans mon lit, imobile dans les actes depuis un petit echec, et encore, depuis une simple frustration de mon ego qui n'est pas si technique mais peut etre bucolique sans alcool.
La seule choses qui me bouge, la seule qui me fasse vivre, c'est ce que je ne pourais jamais controlé, sinon cela ferais longtemps que cela aurais cesser.
Cette choses incongrue sauveur me guidant tel un Tom cruise jaissant des flammes de ma lente hibernation en direction de cette sainte malédiction heureuse de bétise et de béatitude parfaite que l'on pourais nommer vie ou audela de la survie. Cette chose que j'aime regarder paitre en me penchant par dessus la rembarde de mon nuage comme des fourmis sur un pique nike. Ces choses si magnifique qu'elles donnent la nausée de contemplé tel spéctacle abrutisant.
C'est les autres, chacun de vous, a plus grande raison ceux qui on marché sur mon chemin, qui m'on rencontré et peut etre partagé un bout de route.

Vous étes loins, et vous le serais de plus en plus, car un jour vous ne serez plus, soit un a un soit tous d'un seul coup qui me seras fatal. Vous chérir de la malecdiction de ma compagnie ou vous haïr hors de ses eaux boueuses et nauséabonde.
Si l'on fée quelque chose cela doit etre pour vous, sinon a quoi bon faire quelque chose pour soit même? On sait ce que nous somme nous même capable de faire, nulle surprise vient de soit même, les choses viennent de l'extérieur, et part l'extérieur.
Vous me faite vivre donc vous me tuez, quiconque peut dire cela, car cela seras toujours une affirmation discutable sans interet, car l'interet n'existe aussi que pour les autres me semble t'il.
Voile qu'en parlant de moi je parle de vous, suis je vide a ce point de finir mon nombrilisme en altruise part un mouvement introversif exgaré de double retournement de moi même?
Il faut vivre non?

Faison un trou dans le mur du son pour etre dans la piéce du sont ... ensemble.

Et je vais tenter de construire aprés avoir autant détruit, il y a des personnes ici qui mérite plus qu'une ruine.

Michi twa *dépose un gros bisous*


Mais comment pas avoir le sourire la aussi tu triche...mais je vais rien dire .

Bon *retrouse ses manches* tu me passe la truelle j'ai de la maçonnerie a faire...

Euh...

*toussotte*

Z'êtes pas tous seuls...

*un sourire gêné, sur la pointe des pieds, cherche la porte de sortie*

Bah tien pendant que tu es la, pourquoi pas te faire une chambre dans l'aile pour les amis très chère ?

Allez fée pas ta timide tu a déjà fée un trou allé hophophop au travail un peu !

*lui lance une pioche*

Non non je t'en prie, on... s'ocupe le lit on en est loin encore, pis ...euh enfin ça vous regarde pas non mais !!!


Et bon travail dans ton coin mais pas de bétisse hein ?

( je propose le début d'un plan de construction moi je dis avec chacun notre petite pierre a l'édifice ça pourais etre fun de faire le domaine du forum )

*sur la pointe des pieds fait demi tour, et repasse par le trou du mur, une goutte dégoulinant sur sa tempe comme ça (-_-)" puis s'assied en tailleur derrière eux... attend*

Tien puisque tu fée ni de la destruction massive ni de la terraserie, tu peut pas placer les basses du plan, rien que les différents corps du petit village avec un endroit pour tout pis tout ?

*a voir son air déconfie*

Merci tu es gentille

A&E a écrit:

Tien puisque tu fée ni de la destruction massive ni de la terraserie, tu peut pas placer les basses du plan, rien que les différents corps du petit village avec un endroit pour tout pis tout ?

*a voir son air déconfie*

Merci tu es gentille

Lili a écrit:

woé allez coupineuh met le paquet !!! j'garde le bazooka au cas où t'aurais besoin d'être remotivée

J'ai essayé de suivre mais la je décroche...

Bah c'est simple on casse les mur de la dépression pour construire un domaine pour faire notre maison avec tout plein d'autre truc pour les amis tout ça...

Et Lili est chef des travaux au bazzoka pour motiver les trainard c'est tout !

Pendant que tu es la prend donc une masse a deux mains on a des mur a abatre :p !

Hm.... et bien .... tu devrais aimer la tarte ..au mure :p .